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L’Enfant-coq de Maurice Roth, éditions Le Capucin, 2001. Traduit de l’hébreu - translated from Hebrew, Hatarnegol (Le Coq – The Rooster). Pour contacter
(to contact) Maurice ROTH écrivez à (write to) |
Un jour, Maurice Roth, peintre connu en Israël pose son pinceau et prend
sa plume pour tenter de recoller les morceaux d'une enfance éclatée, celle de
l'enfant-coq, son enfance. Dans la France occupée, il retrouve l'enfant de
sept ans, séparé de ses parents, pour être placé-déplacé dans le Sud-Ouest de
la France, tour à tour dans des couvents et chez des paysans gascons. Le
livre se construit autour de cet enfant juif, enfermé dans la solitude dont
il ne sort que pour de longs conciliabules chuchotés avec son seul ami, le
coq de la ferme. |
One day, Maurice Roth, a
well-known Israeli painter sets his brush aside to write and put back
together a childhood blown to pieces, the childhood of the “Child-rooster”,
his own childhood. In occupied |
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Elise B. de Yveline STEPHAN, editions de l’Aube 1998, et éditions de l’Aube Poche
(Préface de Jean-Pierre Guéno) 2003. Pour contacter
(to contact) Yveline STEPHAN, laissez un message à (leave a message
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Les premiers jours, chez Eugénie Tullard, Lïa allait dans l'entrée. Elle
collait son oreille contre la porte. Elle restait là. Immobile, des minutes
entières. Elle écoutait les moindres frémissements de la rue. Des pas sur les
graviers illuminaient ses yeux. Les pas s'éloignaient. Les yeux
s'éteignaient. Elle ne se plaignait jamais. Elle ne prononçait jamais leur
nom. Elle obéissait. « Maintenant, tu t'appelles Liliane. Liliane
Tullard. Répète après moi. Comment t'appelles-tu aujourd'hui? Répète après
moi. » Elle répétait. Maman l'avait dit. Papa aussi. A la mort de
sa bienfaitrice, une jeune femme découvre sa véritable identité, celle d'une
petite fille juive confiée à Eugénie Tullard par ses parents obligés de fuir.
« Confidence, murmure, récit d'une vie de femme, aveu d'une blessure :
le roman d'Yveline Stephan est tout à la fois. » La Tribune juive. « Sur
cette douleur, Yveline Stephan avance à pas menus, par de courtes phrases,
taillées dans la masse imposante d'un cri. » Thierry Guichard, Le Matricule des anges. « Une oeuvre extrêmement sensible... Elise B. a cette qualité rare
des mots qui racontent sans prouver, qui suggèrent sans démontrer, et qui bousculent,
tout simplement. Difficile d'en sortir intact. » La république du Centre Yveline STEPHAN écrit et
enseigne. |
During her first days in the
home of Eugénie Tullard, Lïa used to go to the foyer. She would press her ear
to the door. She would stay there, motionless for long moments. She was
listening to the murmurs of the street. Footsteps on the gravel would put
sparkles in her eyes. The footsteps were moving away. The light in her eyes
would go off. She would never complain. She never said their name. She just
obeyed. “Now, your name is Liliane, Liliane Tullard. Repeat after me. What is
your name to day? Repeat after me”. She would repeat. Mommy had said so.
Daddy too. When her rescuer passed away, a young woman discovers her true identity that of a young Jewish girl entrusted in the hands of Eugénie Tullard by her parents who had been forced to flee. “Confidence, murmur, the life story of a woman, the admission of a wound: the novel of Yveline Stephan is all of these at once” La Tribune juive (The Jewish Tribune) “All along this pain, Yveline
Stephan moves slowly, one small step at a time, with short sentences, etched
on a massive cry.” Thierry Guichard, Le Matricule des anges “A very sensitive novel … Elise B. has a rare quality of words which
tell without proving, suggest without demonstrating, and simply shake you.
Difficult to come out untouched.” La
république du Centre Yveline STEPHAN teaches and writes. |
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Saisons sans voix de Yveline STEPHAN, éditions l’Harmattan 1995. Speechless seasons Pour contacter
(to contact) Yveline STEPHAN, laissez un message à (leave a message
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« Un Livre de Mémoire et
d’Indignation – Ce roman conte l’histoire d’une famille Juive émigrée de
Pologne, peu avant le déclanchement de la guerre de 1939-1945, croyant être à
l’abri de toute persécution dans le « Pays des Droits de l’Homme ».
Le père était tailleur de métier. Il s’appelait Ojzer. Sa femme Chaja,
souvent vêtue d’une robe rouge, était d’une grande beauté. Ils avaient deux
enfants, Maurice dit Moshé et Simon. « Qu’est-ce qu’ils pouvaient
s’aimer ces gens-là. Je n’ai jamais vu ça. L’amour semblait venir tout seul,
sans se forcer, de source. Eux, ils étaient doués pour le bonheur », a
dit d’eux Léon, l’un de leurs amis français … [Après la guerre,] Simon
retrouva son père et Léon son ami… Ojzer était de retour « décharné,
ridé, exsangue, au regard étrange ». De Chaja et de Moshé, on n’eut
jamais de nouvelles … » Ouest-France Ce livre est un long poème à la vie qui s’étire à reculons dans les
souvenirs d’Ojzer, « à bout de souffle, à bout de vie » et ceux de
son fils Simon, venu lui rendre visite dans sa chambre d’hôpital. C’est aussi
un livre d’histoire et un plaidoyer. A ne pas manquer ! Yveline STEPHAN écrit et
enseigne. |
“A Book of Memory and Indignation – This novel recounts the story of a family of Jewish immigrants from Poland, shortly before the onset of the 1939-1945 war, believing they would be safe from persecution in the “Country of Human Rights”. The father was a tailor. His name was Ojzer. His wife Chaja, often wearing a red dress, was beautiful. They had two children Maurice also called Moshé, and Simon. “What a love in this family. I never saw something like that. Love seemed to come on its own, without effort, straight from the spring. They were gifted for happiness”, said about them Léon, one of their French friends … [After the war,] Simon found his father and his friend Léon… Ojzer was back “emaciated, wrinkled, bloodless, with a strange gaze” About Chaja and Moshé, no news ever came …” Ouest-France This book is a long poem to the life that lingers back into Ojzer’s memories, “at his last breath, at the end of his life” and into the memories of his son, Simon, during a last visit to his father in the hospital. It is also a history book and a plea. Not to be missed! Yveline STEPHAN teaches and
writes. |
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Vivre, aimer avec Auschwitz au coeur de Sami
DASSA, éditions l’Harmattan 1995. To live
and love with Pour contacter
(to contact) Sami DASSA, laissez un message à (leave a message at) : sami.dassa3@9online.fr |
Voici une approche à la fois historique et singulière de la Shoah. L’auteur
retrace le chemin qui a mené ses parents de la Salonique judéo-espagnol au
quartier sépharade du 11ème arrondissement de Paris, et s’est
achevé dans les cendres d’un crematorium à Auschwitz-Birkenau … Les enfants de ces déportés sont placés dans les maisons de l’UGIF où ils
vivent sous la menace incessante des rafles. Un réseau de résistance
humanitaire – l’Entraide Temporaire – les sauve en les cachant à la campagne. Par ses émotions, ses souvenirs familiaux, les témoignages recueillis et
les recherches entreprises, Sami DASSA veut raviver la lumière qui émane des
êtres disparus. Il veut aussi montrer la singularité de la Shoah à travers le
sort réservé aux enfants Juifs. Pour son auteur, ce livre est comme la
réalisation symbolique de retrouvailles impossibles. Sami DASSA est né à Paris
en 1937. Il est chercheur en sociologie au CNRS. Ses travaux portent
principalement sur les rapports sociaux de travail et sur les relations
travail/santé. |
Here is an approach to the study of the Shoah, which is both historical and personal. The author traces back the journey, which brought his parents from the Judeo-Spanish Thessaloniki to the 11th district of Paris, and ended in the ashes of a crematorium at Auschwitz-Birkenau … The children of these deportees are placed in the homes of the General Union of Israelites in France, where they live under the constant menace of roundups. A network of humanitarian resistance – the Temporary Mutual Help – saves them by hiding them in the countryside. With his emotions, his family memories, various testimonies and his research, Sami DASSA wants to rekindle the light of these lost souls. He also wants to shed light over the particularity of the Shoah through the unique predicament of the children. For its author, this book is somewhat the symbolic fulfillment of an impossible reunion. Sami DASSA was born in Paris in 1937. He is a researcher in sociology
at the CNRS (National Center for Scientific Research). His work focuses on
labor relations and on the relationship between work and health. |
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ILS ONT SURVECU: Le sauvetage des Juifs en Belgique, by Sylvain BRACHFELD, Editions Racine,
Bruxelles, 2001. A GIFT OF LOVE, (adapted and updated version), seeking a publisher. |
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Valuable Links
– Liens importants
· The Nizkor Project : An essential site in the fight against Holocaust denial and revision of history – Un site indispensable dans la lutte contre la négation de la Shoah et les révisionnistes. |
· Holocaust institute for Educators (Florida State University) : Numerous valuable links – De nombreux excellents liens |
· The International Study of Organized Persecution of Children : A good bibliography – Une bonne bibliographie |
·
Evanston
Public Library : A selected
bibliography on the Holocaust |
·
Mémoire Juive et Education : Un très bon
site avec beaucoup de liens – A very good site with many links |
·
Shoah : Un
bon site sur la mémoire de la Shoah. Des liens et de l’information. |
·
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