Cette section du site représente un de volets importants qui m’a finalement convaincu de publier Un Hiver en Provence. En cherchant à retrouver ce qui m’était arrivé, j’ai découvert ce qui était arrivé aux autres, et en particulier à des dizaines de Juifs étrangers qui rendaient visite à ma mère dans notre magasin du Pontet, le Minime Prix.
En août 1942, une centaine d’entre eux furent livrés aux Allemands par le gouvernement de Vichy et déportés à Auschwitz. Un seul survécut.
Mais ce qui fut le plus choquant, c’est que les auteurs vauclusiens de ce crime retrouvèrent rapidement la respectabilité dans un Vaucluse indifférent au sort des Juifs.
Je vous en livre les détails dans les pages suivantes.
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