Sigles et repères chronologiques
Préface : Serge Klarsfeld
Avant-propos : Ma Libération
Introduction : De l’antisémitisme d’état à la loi du milieu
Première Partie : La solution française de la « question juive » dans le Vaucluse
Chapitre 1 : Les oubliés de l’Histoire, les déportés de 1942
Chapitre 2 : Le Commissariat général aux questions juives : la crapulerie légalisée
Chapitre 3 : Henri de Camaret, le délégué du CGQJ pour le Vaucluse
Chapitre 4 : Jean Lebon, le procès – la dérive de la SEC déchainée
Chapitre 5 : Un réseau de profiteurs de biens juifs patronné par l’état
Chapitre 6 : Régis d’Oléon, le chef de la Légion des Combattants du Vaucluse
Deuxième Partie : Les Allemands et leurs comparses; la solution allemande de la « question juive » dans le Vaucluse
Chapitre 7 : La racaille à l’état pur : la bande à Georges Parietas et Alfred André
Chapitre 8 : Les « favoris » de l’Allemand, Wilhelm Müller, chef du SiPo-SD d’Avignon
Pierre Terrier et Robert Conrad – deux voyous du Bar Carnot
Yves Thesmar, chef de la Milice du Vaucluse
Tiziano Feroldi, le chef des Renseignements de la Milice
Les « cols blancs » du groupe « Collaboration », Charles Uhl, Jean Gaugler, et leurs amis
Les bons à tout faire de Müller : Le Flem, Poutet et Sarkissoff
Laurent Idlas et les activistes du Parti Populaire Français du Vaucluse
Chapitre 9 : La bande à Palmieri, au service du SiPo-SD
Troisième Partie : La couleur du gris : une sélection de quinze cas « équivoques »
Quatrième Partie : En fin de compte : sur l’efficacité de la violence antisémite
Cinquième Partie : Le Commandant SS Rolf Mühler, l’épicentre de la répression policière allemande dans la région de Marseille
Epilogue : Devant la caserne, sur un air de Lili Marleen
Annexes
Glossaire
Notes
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